Marc Gutekunst
TAO, photographies du Milieu et du Toit du Monde
Du 29 novembre au 11 décembre 2022, vernissage le 2 décembre à 19h30
Dans le chaudron photographique, l'élaboration d'une lumière jouant avec la nuit, comme un feu avec le charbon.
Chaque photo émerge, couleur ou noir et blanc, d'une tradition ancestrale, profonde.
Le tao qui peut être exprimé / n’est pas le Tao éternel.
Le nom qui ne peut être nommé / n’est pas le Nom éternel.
L’indicible* est l’éternellement réel. *L’être sans nom / Nommer est l’origine
de toutes choses particulières. / Libre du désir, tu comprends le mystère. (l’essence spirituelle du tao)
Pris dans le désir, tu ne vois que les manifestations / Pourtant mystère et manifestations
jaillissent de la même source / Cette source s’appelle ténèbres. (profondeur)
Ténèbres dans les ténèbres. (choses doublement profondes) / La porte vers toute compréhension.
La vina
Pour nous amener vers l'été, par la ligne bleue des Alpes, Mireille Rosaz, Hiéronima en art, présentera ses collages à la galerie-café La Vina du 10 juin au 24 juin.
Inspirés par le ciel et la montagne, ils s'intitulent paradoxalement De par les vagues... Il est vrai que les monts et les cieux partagent avec la mer la blancheur et la pureté de leurs cimes par l'écume, la neige ou les nuages. Un hommage aux éléments que le bleu réunit.
Ces vagues, l'écume des jours, dirait Boris Vian, nous enseignent que le ciel est un éternel palimpseste, toujours nouveau, pour écrire "Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui", comme l'écrivit un autre poète, Stéphane Mallarmé, lui aussi amoureux de l'Azur...